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28 septembre 2011

Libérer l’initiative individuelle contribue à améliorer la performance financière globale

Imaginez une entreprise au sein de laquelle il n’y aurait pas de hiérarchie pyramidale. Où chaque salarié se verrait traité avec les mêmes égards, sans distinction de catégorie ni privilège. Où chacun aurait le libre arbitre de ses actions dans son périmètre de responsabilités.

Impossible ? sans doute pas ! C’est ce qu’avance Isaac GETZ, professeur en innovation à l’ESCP.

Il affirme qu’une certaine forme d’organisation, basée sur la responsabilisation et l’autonomie, permet de libérer la créativité et l’initiative dans l’entreprise.

Comment ?

Par une totale adhésion du dirigeant, seul à même d’initier un tel bouleversement dans l’organisation. En s’interdisant de proposer des solutions à la place des autres, dans le cadre d’une relation basée sur la confiance, où chacun, conscient du rôle essentiel qu’il a à jouer, développe ses propres initiatives.

Exit le salarié qui agit comme « le chef lui a dit de faire » ou qui s’astreint à suivre, sans toujours la comprendre, une quelconque procédure. Au sein de l’entreprise libérée, chacun prend la décision ou met en œuvre l’action qu’il croit être la meilleure.

Pour quels résultats ?

Ce mode d’organisation favoriserait l’auto-motivation des salariés, leur implication dans l’entreprise et contribuerait à réduire l’absentéisme.

Une révolution, certes, mais surtout un leadership libérateur, source de développement du Business et des hommes.